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Evaluation environnementale des systèmes de culture pérennes

Les enjeux de durabilité des systèmes agricoles impliquent une gestion multi-échelle de la production et des ressources naturelles. En tant que système de culture pérenne cultivé sur de grands espaces continus, les plantations de palmiers à huile offrent un cadre d’étude intéressant, notamment par l’approche agri-environnementale qui y est développée depuis 3-4 décennies. Afin de limiter les pollutions atmosphériques, les déchets organiques d’usine sont aujourd’hui recyclés dans les parcelles mais avec quels impacts sur l’eau et le sol ? Et comment les évaluer ? Lors de ce séminaire, seront présentées i) différentes méthodes d’échantillonnage et d’analyses qui tiennent compte de l’hétérogénéité du système à différentes échelles pour évaluer la qualité des eaux et les propriétés physico-chimiques et biologiques du sol ; ii) des résultats d’études réalisées en Indonésie afin d’illustrer nos propos : impacts des pratiques de fertilisation sur le sol aux échelles parcelle et unité pédologique, impacts sur les nappes et cours d’eau du bassin versant; iii) une réflexion sur l’intérêt de faire des aller-retour entre les échelles d’analyse. En conclusion, ces travaux éclairent les interactions entre ingénierie agro-écologique et recherche pour répondre aux préoccupations environnementales.

 

Première puissance agricole européenne, la France peut-elle sortir du modèle intensif? Un projet de loi encourage de nouveaux modes de culture et d’élevage plus durables. état des lieux.

 

 

 

Il paraît que nous sommes au XXIe siècle. Que l’heure est au changement de modèle. En agriculture, le mot-clé du moment, c’est «agroécologie». Surtout depuis que le ministre Stéphane Le Foll en a fait son mantra, fin 2012, et l’axe central de son «projet de loi d’avenir pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt», qui sera débattu en avril au Sénat après avoir été adopté en première lecture par les députés le 14 janvier.

 

L’agroécologie, kézaco ?  suite

Le comité de suivi, qui s'est réuni le 12 juin, a prévu de définir les critères pour la mise en œuvre d'un projet agroécologique d'ici à la fin de septembre 2014. Un document d'autodiagnostic des exploitations sera mis à la disposition des réseaux partenaires (chambres d'agriculture, Civam, etc.) pour un test sur le terrain avant d'être généralisé à l'ensemble du territoire.

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